mercredi 24 septembre 2014

Evitons aux Sénégalais le syndrome du candidat de l’unité de Benno Siggil Sénégal !

Benno Bokk Yakkar « DOU DEM !


Nous louons les efforts fournis depuis quelques jours pour asseoir un cadre politique porteur des projets pour le Sénégal de Monsieur le Président de la République, président de l’APR.
Mais Benno Bokk Yakkar « DOU DEM » car il est constitué de coalitions de partis et de partis  politiques qui sociologiquement sont organisés pour avoir un candidat à l’élection présidentielle de 2017 sous risque de se disloquer. Tel est le cas du parti socialiste !
Benno BokkYakaar, groupe parlementaire à l’Assemblée nationale est largement suffisant pour fédérer et respecter les engagements pris vis-à-vis des alliés de 2012.
Nous restons convaincus et nous ne cesserons de militer pour cette Alliance pour la Majorité Présidentielle « avec un programme de gouvernement au-delà des mandats avec un patriotisme économique plus affirmé soutenant le secteur privé typiquement sénégalais en lui réservant un pourcentage conséquent de la commande publique « sama mbop mala geunal dou bagne nala » adossé aux perspectives.
Les perspectives concernent le Plan Sénégal émergent (P.S.E.), avec une politique de promotion de l’initiative économique pour la création massive d’emplois, la deuxième phase de l’acte III de la décentralisation, la baisse des prix des denrées de première nécessité, les réformes de la CNRI, la réduction du mandat présidentiel à 5 ans,  la suite de la traque des biens présumés mal acquis et la résolution concertée de la crise universitaire » et non ressusciter Benno Bokk Yakaar et le Sénat.
Notre combat, nos mouvements et nos temps doivent demeurer, exclusivement, la recherche d’un mieux-être pour les citoyens sénégalais en adaptant nos programmes à leurs besoins GAGE D’UNE RÉÉLECTION EN 2017.

 

vendredi 27 juin 2014

Les citoyens - électeurs s’expriment déjà !

Quel que soit le résultat des élections locales citoyennes, ou politiques, les Sénégalais ont déjà exprimé leur insatisfaction à l’égard des politiques. Ces 2700 listes, dont la majorité contre nature, l'illustrent parfaitement et si nous voulons combler le fossé, nos actes à venir doivent en tenir compte :
permettre la participation des citoyens aux élections locales au même titre que les politiques comme la société civile l'a voulue en son temps pour une prise en charge de leurs préoccupations ;
légiférer sur la démocratie interne et le financement des partis politiques ;
• recomposer la majorité présidentielle partie en rangs dispersés lors de ses élections et arrêter ces alliances à la « Beureung Barigo » qui obscurcissent l’offre politique surtout celle de la majorité.
Ce sera l’occasion de remettre au goût du jour l’Alliance pour la Majorité Présidentielle avec tout ce que cela implique comme structuration et perspectives parce que les résultats des différentes listes au sein de Benno Bokk YAKAAR détermineront les rapports de force et la recomposition du paysage politique sénégalais. Surtout ceux de Dakar, Pikine, Guédiawaye et Rufisque qui préfigurent les forces en compétition pour 2017.


Ainsi, en plus des réponses locales aux questions des citoyens posées le 29 juin, le gouvernement devra apporter une réponse nationale sous l’angle de la politique menée par le gouvernement depuis deux ans, des résultats obtenus sur le terrain et des perspectives.
C’est pourquoi nous militons pour cette A.M.P. avec un programme de gouvernement au-delà des mandats avec un patriotisme économique plus affirmé soutenant le secteur privé typiquement sénégalais en lui réservant un pourcentage conséquent de la commande publique « sama mbop mala geunal dou bagne nala » adossé aux perspectives.
Les perspectives concernent le Plan Sénégal émergent (P.S.E.) avec une politique de promotion de l’initiative économique pour la création massive d’emplois, la deuxième phase de l’acte III de la décentralisation-deuxième phase, la baisse des prix des denrées de première nécessité, les réformes de la CNRI avec celle phare de la réduction du mandat présidentiel à 5 ans,  la suite de la traque des biens présumés mal acquis et la résolution concertée de la crise universitaire.

Notre combat, nos mouvements et nos temps doivent demeurer, exclusivement, la recherche d’un mieux-être pour les citoyens sénégalais en adaptant nos programmes à leurs besoins.
Amadou Bassirou NDIAYE

mercredi 28 mai 2014

http://www.youtube.com/watch?v=GgIembJX3IY

POUR CEUX QUI N'ONT REGARDE L'EMISSION " A VOS CONTRIBUTIONS3 SUR MOURSHID TV
COPIER ET COLLER
http://www.youtube.com/watch?v=GgIembJX3IY


samedi 26 avril 2014

Elections locales 2014 : Haro sur les listes politiques et contre nature !

A titre personnel, je suis opposé aux listes constituées de partis contre nature sous prétexte de réalités locales. En effet, nous pouvons tolérer des partis de l'opposition allant avec la société civile ou même la constitution de liste unique pour le développement communal. Mais là où le bât blesse, c'est lorsque l'on trouve dans une même liste des partis de la majorité et quelques partis de l'opposition à la conquête de certaines communes. Alors que l'on sait que ces partis dans moins de deux ans verront leurs dirigeants postuler à la magistrature suprême.
Si ces listes contre nature sortent gagnantes en 2014, forcément ces communes seront ingérables de 2015 à 2016 parce que les programmes/projets des candidats à l'élection présidentielle seront en perpétuelle confrontation dans les conseils municipaux.

De plus ces risques sont beaucoup plus exacerbés par l'existence de listes personnalisées à caractère référendaire ; des listes qui ont pour objectif unique la satisfaction d'ambitions personnelles.
Alors que les communes ont besoin de conseils municipaux de développement.
Des conseils municipaux qui prennent en charge les citoyens acteurs et bénéficiaires afin de régler les difficultés majeures qu’ils rencontrent sur le plan social, éducatif, sanitaire, environnemental.
A titre illustratif, la commune des HLM, poumon économique de Dakar avec son marché international de tissus et sa zone industrielle se doit d’avoir une équipe municipale du terroir, dynamique et ambitieuse à même de la développer.
En définitive, nous pensons que les communes devraient être gérées par des personnes qui pensent la même chose, qui s'y consacrent totalement sans aucune responsabilité nationale. A charge d’en tirer les conséquences, en cas d'échec, pour les chefs de parti ou les personnes qui ont des ambitions nationales et qui postuleraient à des élections locales.
Haro sur les listes politiques et contre nature et permettons à ceux qui sont mieux placés d’être candidats dans leurs localités !

dimanche 6 avril 2014

DEMOCRATIE INTERNE ET FINANCEMENT DES PARTIS POLITIQUES

Dakar le 06 avril 2014

DEMOCRATIE INTERNE ET FINANCEMENT DES PARTIS POLITIQUES
Le courant de pensée politique BOKK DEFAR, de l’Alliance Démocratique Pencoo, entend participer, au moyen de cette contribution, au débat sur le financement des partis politiques au Sénégal. Car, au-delà de la lutte contre la corruption, l’instauration de la démocratie interne au sein des partis politiques participera à la consolidation de la lutte contre les financements nébuleux.
En effet les alliances asymétriques entrainent obligatoirement la remise en cause du libre choix qui fait partie des critères de la démocratie. Et vouloir obliger ses alliés à prendre des engagements qui vont dans le sens des intérêts du parti du dominant, c’est les priver de cette possibilité de choisir librement. Ce qui est valable aujourd’hui ne le sera pas forcément demain.
De même, les dirigeants ont tendance à transformer les partis ou coalitions en des partis « godillots », totalement instrumentalisés. Lesquels se distinguent finalement par une absence foncière de démocratie interne. Ce que nous cherchons à dire c'est qu'il faudrait que les partis se réapproprient le concept de démocratie, de sorte à ce que tout se fasse dans la collégialité. Il est impératif qu'il y ait, au sein des partis, un débat d’idées dans la sérénité avant toute décision majeure, une organisation d’élections primaires en cas de pluralité de prétentions ou de congrès afin de consulter les militants et de respecter les statuts, l'acceptation de courants de pensée politique …….etc.
Vouloir la démocratie c'est accepter de souffrir de ses exigences, qui, sommes toutes, ne sont que salutaires.
Ceci est, à notre sens, le seul remède au mal dont souffre l'univers politique sénégalais. Lequel mal trouve son symptôme le plus perceptible dans la pléthore de partis (247 au Sénégal).
De plus, le financement des activités des partis politiques est supporté très souvent par une seule personne, ce qui peut être source d'aliénation des autres lorsque celui-ci prétendra jouer un rôle majeur sur la scène politique nationale. Dès lors se pose comme une nécessité l'implication de tous et de chacun à l'effort de mobilisation de fonds politiques.
Ainsi, il s’agit :
*      d’instaurer la démocratie interne au sein des partis politiques en vue d'en rationaliser le nombre ;
*      de financer les partis en luttant ainsi contre les risques de financement nébuleux.
A cet effet, nous proposons :
1.   Pour l’obtention de la reconnaissance juridique par un parti politique d’insérer dans les statuts types
*   L’obligation de produire les documents annuels (rapport d’activités, état financier), la tenue à date des réunions statutaires (respect de la périodicité de la tenue des conseils nationaux, des congrès…), la mise en place d’une école du parti pour une éducation citoyenne sous peine de dissolution ;
*   L’instauration d’une alternance au sein des instances avec le renouvellement des mandats des dirigeants y compris la personne morale.
*   L’acceptation, à côté des mouvements, des courants politiques au sein des partis avec une représentation dans les instances de direction et une association dans les prises de décision.
2.   Pour le financement des partis politiques
*   Le financement des partis politiques qui ont obtenu au moins 2% des suffrages exprimés lors des élections précédentes. Lesquels 2 % des suffrages exprimés seront répartis, au moins, dans un tiers (1/3) des départements. En plus, ce financement sera obligatoirement proportionnel au nombre d’élus obtenus ;

*   Néanmoins, il faudra prévoir un financement forfaitaire minimal pour les partis qui produisent régulièrement les documents annuels exigés et qui respectent les textes réglementaires.
 Pour le Bureau Exécutif de Bokk DEFAR
Le Coordonnateur/Amadou Bassirou NDIAYE / 77 657 30 53
Mame Mody DIOP/ 77 457 19 85
Abdoulaye DIOUF / 77 944 44 26

mercredi 26 mars 2014

Les contributions de Amadou Bassirou NDIAYE sur l'actualité politique sénégalaise par Amadou Bassirou NDIAYE, Cordonnateur de BokkDEFAR

http://bassirou_ndiaye.seneweb.com
Dakar le 17 mars 2014

HALTE A L’ESCALADE VERS LA « MONARCHIE »…NOUS SOMMES EN DEMOCRATIE !
Dans 1104 jours, ce sera au mieux le 1ier tour des élections présidentielles de 2017, nous avons le temps d’impulser les changements socio-économiques positifs et majeurs dans la vie des sénégalais pour espérer une réélection de Monsieur Macky SALL. Mais pour se faire, il faudra gagner les grandes batailles qui intéressent les sénégalais parmi lesquelles :
La Démocratie : le libre choix fait partie des critères de la démocratie et vouloir obliger ses alliés à prendre des engagements pour 2017, c’est le leur denier. Ce qui est valable aujourd’hui ne l’est pas forcément en 2017 et le sénégalais n’aime pas que l’on batte les cartes à son « insu ».
Nous avons encore de grands combats à mener à l’intérieur des partis et des coalitions de partis où les dirigeants ont tendance à en faire des partis « godillots » avec les « Je décide et tout le monde applique sinon c’est être déloyal et je décide l’isolement, la diabolisation par les ravaleurs de vomi, ces stratèges du Dimanche ou même l’exclusion……». Voila entre autres raisons celle qui participe à la création de centaines de partis avec l’absence de Démocratie interne (le débat d’idées dans la sérénité avant les décisions majeures, l’organisation d’élections primaires en cas de pluralité de prétentions ou de congrès pour consulter les militants et respecter les statuts …….etc).
Les Réformes institutionnelles avec les propositions de la CNRI doivent nous garantir, dorénavant, l’indépendance symétrique des trois pouvoirs.
L’acte 3 de la décentralisation qui n’est pas encore une réalité.
La Demande sociale : jusqu’à présent les sénégalais disent que « Deuk bi dafa Macky » même si nous faisons partie de ceux qui affirment que les choses s’améliorent avec la baisse des prix de certaines denrées alimentaires, la baisse des loyers pour les locataires.
Le Plan Sénégal émergent avec tout ce qu’il contient commet projets porteurs et le succès obtenu auprès des bailleurs n’est qu’au stade de projet avec des promesses rien que des promesses.
La bataille pour l’emploi est loin d’être gagnée et ce n’est pas les jeunes qui sont les seuls concernés par le chômage mais toutes les classes d’âge ans oublier les entreprises qui doivent créer les emplois et la richesse pour l’émergence.
En fait, ce serait une politique de développement de l’Initiative Economique qu’il faudrait mettre en œuvre pour réussir la création d’emplois et le préalable à l’émergence économique.
Messieurs, nous autres de la majorité, nous nous devons de descendre sur le terrain d’informer, de sensibiliser les sénégalais sur les grands projets de Monsieur le Président afin d’apporter au besoin les rectificatifs nécessaires et non surenchérir sur les candidatures en 2017.
Et puis on ne peut pas demander à son voisin ce que l’on refuse de faire commençons par les élections locales et permettons à ceux qui sont mieux places d’être candidat dans leur localité !

Amadou Bassirou NDIAYE
Coordonnateur de Bokk DEFAR/Membre de l’Alliance Démocratique
77 657 30 53/70 335 75 00

1. Bokk DEFAR est un courant de pensée politique qui est mis en place au sein de l’Alliance Democratique Pencoo et qui soutient totalement le Président de la république, Monsieur Macky SALL dans ses ambitions pour le Sénégal.
Bokk DEFAR se veut la voix du mutisme. Mutisme pour faire allusion à toutes ces personnes qui doivent parler, participer, réagir, suivre et évaluer, à terme, les actes posés dans la cité. Ces personnes qui refusent que des soi-disant politiques aspirent à gérer cette cité dans la tortuosité, les coups - bas, le reniement et le manque de conviction pour que vive l’idéal Pencoo dans un senegal prospère !





Sam. 23/11/2013 23:28

Oui à l’ALLIANCE POUR LA MAJORITE PRESIDENTIELLE (A.M.P.)!
Enfin, le président de BBY aurait décidé, selon, de «dissoudre ou d’élargir BBY», nous nous en félicitons en espérant que cela ne soit pas trop tard !
Nous tirions la sonnette d’alarme au début du mois de juin 2013 en posant la question de la nécessité de la Dissolution de BBY (cf contribution sur le sujet[i]).
En effet, nous disions, en son temps : «Il urge de compter ses partisans parce qu’il y a les réformes à mener dont les plus urgentes sont celles qui influent directement et maintenant sur le niveau de vie des sénégalais et non celles qui allongent la durée du mandat du président de l'assemblée nationale ou la réduction du mandat du président de 7 a 5 ans» ou dernièrement «le mandat unique de 7 ans ».
Ces débats récurrents ne règlent pas le « schmilblick »comme aurait dit Coluche, le Sanékh français, de son vivant,!
En effet, le « schmilblick » demeure la satisfaction de la demande sociale qui élit et défait les régimes dans l’espace et le temps. Les meilleurs stratèges et tacticiens politiques n’y changeront rien !
Les partis politiques, sont crées, à foison, quelques fois mis au chaud, pour être servis à des politiciens, masqués, qui se croient investi d’un destin national.
Ces politiciens prête-nom sont ceux qui mettent à longueur de journée des peaux de banane sur la politique difficilement mise en œuvre par le gouvernement et qui font véhiculer ces fausses rumeurs que « Deuk bi dafa Macky »…….Alors que comme le dit le taximan « les salariés ont des revenus plus importants qu’en 2012, les familles ont senti la baisse de certains produits comme le riz et que c’est seulement ceux à qui on offrait  cet argent sale, qui n’existe plus, qui se plaignent ».
Les Jeunes de la Majorité Présidentielle ont montré la voie en créant un cadre formel. Oui, à une Alliance pour la MajoritéPrésidentielle (cf. ma contribution du 26 juillet 2013 [ii]) qui regrouperait tous ceux qui veulent, sans arrogance, sans hypertrophie du moi, sans machiavélisme, avec les « vieux » qui aident à ne pas glisser sur les peaux de banane et beaucoup plus de jeunes cadres compétents, travailler pour un Sénégal qui marcherait vers le mieux être.

Ven. 30/08/2013 13:24
LE PRAGMATISME A L’ÉPREUVE DU POLITICIEN
Non, Messieurs, en 2012 le Sénégal avait choisi le pragmatisme à la place du libéralisme.
Avant, en 2000, c’était au tour du socialisme d’être défait, et cela malgré les réussites socio-économiques notées suite aux longues années d’ajustement structurel. La raison à cette débâcle socialiste fut l'inadéquation entre la volonté politique du régime d'alors et les attentes sociales.
En 2012, les libéraux perdent le pouvoir alors que Gorgui avait commencé à « infrastructurer » l’économie, laquelle trouve en cela l'une des conditions sine qua none de son essor. Tout ceci est pour dire qu'il y a faillite idéologique.
Oui, Messieurs, les idéologies ont échoué au Sénégal parce que les politiciens en portent le manteau sans en avoir le comportement !
En 2012, le Pragmatisme est arrivé au pouvoir parce que le candidat Macky SALL a su trouver l'harmonie entre son chant et le chœur des populations.
En 2012, le président Macky SALL s’était entouré de personnalités qui ne répugnaient pas à l'idée d'aller au charbon. Des gens dont l'abnégation et le dévouement ont été tels qu'ils se sont départis de leurs dimensions de porteurs d'idées pour se transmuer en de simples porteurs de chaises. Car ils avaient conscience d'être au rendez-vous de l'histoire, et aucun prix n'était cher payé pour y être.
En 2012, le Pragmatisme est au pouvoir parce que le candidat Macky SALL a su prendre des engagements réalistes et réalisables, même si quelques uns ne seront pas effectifs dans les délais escomptés.
Le pragmatisme, c’est à notre avis, la traque des biens mal acquis, la hausse des salaires par la baisse des impôts, la baisse des prix de certaines denrées de première nécessité…entre autres mesures déjà prises, ainsi que celles à venir, telle que le réclament les sénégalais.
Hélas, nous constatons depuis quelques temps une écoute plus intense des politiciens au détriment des sénégalais.
IL Y A FORCEMENT URGENCE, Monsieur le Professeur Madior Fall, s’il s’agit de la recherche d’un mieux être pour les sénégalais et surtout lorsqu’il y a nécessité absolue.
Pourquoi revenir sur les principaux objectifs de l’acte 3 de la décentralisation que sont la mutation de nos 14 régions en des pôles de développement économique, de nos pléthore de « petites communes d’arrondissement en quelques grandes communes d’arrondissements porteurs de potentialités socio- économiques ? Lorsqu’il y ‘a nécessité absolue, il y a forcément urgence.
Professeur, il vous suffira de faire un tour au marché des HLM, un des plus grands marchés de tissus de la sous région, pour vous rendre compte du danger qui a fini de faire partie du quotidien des populations riveraines: insalubrité , insécurité….etc. Des maux dont la petite commune d’arrondissement des HLM ne peut, à elle seule, trouver des remèdes, pour ne pas dire la mairie de Dakar.
Pourquoi dire que l’on va demander l’inéligibilité pendant 10 ans de ceux qui auront détourné les deniers publics ! Et pourquoi 10 ? Et tant qu’on y est, demandons les mêmes sanctions à l’encontre des élus qui profitent de leur fonction pour gruger les sénégalais !
Pourquoi laisser courir cette rumeur que l’on va restreindre l’utilisation des puces téléphoniques à 3 par sénégalais, sans réagir ?
Et puis, tant qu’ils y sont : ils n’ont qu’à restreindre le volume d’air à respirer par les sénégalais !


Dim. 28/07/2013 20:18
DE LA NECESSITE DE REAJUSTER LE YONOU YOKOUTE DANS UNE ALLIANCE POUR LA MAJORITE PRESIDENTIELLE (A.M.P.)
Là, en 15 mois de gouvernance, le président a mis en œuvre plusieurs de ses engagements. Si ! je peux même dire qu'il est en train de construire pour la durée : à la place des préfabriqués, à usage conjoncturel, il fait les fondations pour une construction longue durée.
Mais les sénégalais l’attendent toujours sur l'emploi et sur la baisse substantielle des prix des denrées de 1ière nécessite ! Plus simplement, sur la demande sociale, ce n’est pas encore çà et il est devenu nécessaire, pour ne pas dire urgent, de réajuster le Yonou Yokoute en s’adossant sur une Alliance forte autour du Président. Une Alliance pour la Majorité Présidentielle (A.M.P.).
Réajuster le Yonou Yokoute ?
Oui parce que, pour nous, les engagements pris par le candidat Macky Sall sont toujours d'actualité et sont loin d'être dans le domaine de l'application impossible ! Même si pour quelques uns, il est quasi certain que leur mise en œuvre sera difficile sur ce présent quinquennat.
D'où la nécessité d'un réajustement de certains engagements surtout ceux qui concernent le nombre d'emplois à créer. 100 000 emplois par an ! le Sénégal n’a pas encore les moyens d'en créer autant et les choix ne sont pas encore à l'aune de telles ambitions affirmées.
Oui, il faut réajuster et surtout étaler sur la durée les mesuresqui ne peuvent pas être appliquées durant ce mandat et le dire tout simplement aux sénégalais.
Bien sur, " DIGUE BOR LA " !
Mais il y'a eu, de tout temps, des rééchelonnements de dettes dans toute opération de crédit. L’essentiel, c'est de montrer sa volonté de respecter les engagements pris !
Le Président est dans la voie avec la mise en place de la commission des réformes, la traque des biens présumés mal acquis, l’instauration des prix homologués pour certaines denrées de première nécessité malgré une conjoncture économique mondiale extrêmement défavorable.
Un Yonou Yokouté réajusté adossé à une « Alliance pour la Majorité Présidentielle » permettra à Monsieur le Président de gouverner au centre en choisissant, surtout, un Premier ministre, apolitique, pour qu’il n’y’ait pas de dualité dans la gestion de l'Etat.
Oui, une Alliance pour la Majorité Présidentielle, et je reprends mes propos d’une précédente contribution1, « serait le meilleur moyen de se compter et de couper l'herbe sous les pieds de ses adversaires, du dedans, afin d'éclaircir le champ politique et éviter que son programme de gouvernement ne soit parasité par les adeptes du "y a qu'à". Ces donneurs de leçon qui ne feront rien de positif pour leur pays ! Ne dit – on pas une « pomme de terre pourrie peut contaminer tout un sac» ?
Donc, pour le Président, il urge de compter ses partisans sincères qui ne sont mus que pour la satisfaction des besoins des sénégalais afin de montrer qu'il est en train de respecter ses engagements » avec un Yonou Yokouté réajusté.
Par Bassirou NDIAYE


Ven. 21/06/2013 17:33

DES INSTITUTIONS FORTES, OUI ! MAIS, DES VENTRES PLEINS C’EST MIEUX !
Le Président Macky SALL doit éviter le paradoxe des infrastructures et conduire sa politique pour l'émergence économique du Sénégal. Ainsi, il écarte le Wade paradoxe : sortir par la petite porte, laisser les sénégalais "le ventre creux et la tête pleine de rancœurs !".
Finies les Assises nationales, vive la Commission nationale de réforme des institutions (CNRI) dont les objectifs ont été déclinés par le Président MBOW. Nous ne pouvons que nous en féliciter du fait du travail sérieux, rigoureux et inclusif. Manifestement, il tient à associer l'opposition qui a « rué dans les brancards » depuis son installation en dénonçant sa non implication.
Mais là où les travaux de la CNRI nous interpellent, c'est lorsque le président LOUM déclare que tous les articles de la constitution « peuvent être » concernés par les réformes. Ce qui peut avoir pour conséquence une série probable de modifications allant des mandats du président de la république, de celui de l'assemblée Nationale et probablement une réforme des collectivités locales avec l'acte 3 de la décentralisation.
La tenue des élections locales à date échue posera problème compte tenu du délai annonce par la CNRI pour le dépôt des travaux (6 mois) ce qui nous amène au mois de décembre 2013. Et le temps de rédiger le projet de constitution pour une consultation référendaire, nous serons au mois de février 2014, soit 45 jours au plus avant les. Élections locales du 16 mars 2014.
Enfin, évitons de nous focaliser sur les INSTITUTIONS FORTES et travaillons pour la satisfaction de la demande en biens de 1ière nécessité comme c’’est en train d’être mis en œuvre.
LES SENEGALAIS VOTENT MAIS PAS LES INSTITUTIONS !

ENVOYE LE MER. 05/06/2013 22:47
DISSOLUTION DE BENNO BOKK YAKAAR ?
Le leader de BBY est naturellement le Président Macky SALL à qui, jusqu'à preuve du contraire, nous donnons carte blanche pour proposer des actions à mener, pour rendre plus visible sa politique socio économique qui, à terme, devra satisfaire la demande sociale. Toute la demande sociale ? Oh que non, ce n'est pas possible et cela ne sait jamais fait nulle part ailleurs !
Mais force est de constater que l'opposition PDS marque des points. L'expérience acquise entre 2000 et 2012 dans la gestion des choses publiques permet au PDS d’identifier et d’exploiter politiquement et rapidement les failles et carences dans la conduite des choses publiques.
Cela est aussi facilité par l’inertie des alliés du Président qui a été oblige de déplorer c manque de soutien de sa politique par ses alliés. Certes l’on note une absence des membres de cette coalition dans les débats ! Du fait d’un manque d’informations sur ce qui se fait. On ne peut défendre que ce que l’on connait ou compte tenu des agendas personnels des uns et des autres et des stratégies que cela implique.
Mais, il ne peut pas y avoir de Direction politique unifiée (DPU) tout simplement parce que le seul à être élu au suffrage universel est Monsieur Macky SALL et au taux de 65 %.
Par contre, Monsieur Macky Sall peut se décider à assumer son rôle de chef politique de BBY en convoquant ou en faisant convoquer des réunions d'information et de préparation de ses décisions avec la participation de ses alliés.
Ou bien, Monsieur Macky Sall dissout BBY et crée une coalition dite de la majorité présidentielle parce que ses allies de 2012 n'ont plus les mêmes objectifs. Et ce serait contreproductif que de vouloir maintenir dans une coalition de coalitions des opposants déclarés.
Ce serait le meilleur moyen de se compter et de couper l'herbe sous les pieds de ses adversaires, du dedans, afin d'éclaircir le champ politique et éviter que son programme de gouvernement ne soit parasité par les adeptes du "y a qu'à". Ces donneurs de leçon qui ne feront rien de positif pour leur pays ! Ne dit – on pas une « pomme de terre pourrie peut contaminer tout un sac» ?
Donc, pour le Président, il urge de compter ses partisans sincères qui ne sont mus que pour la satisfaction des besoins des sénégalais afin de montrer qu'il est en train de respecter ses engagements. Même si cela tarde à se faire sentir à cause, entre autres, du parasitage des mesures déjà prises. Une baisse de 1 % des prix des biens de consommation a toujours une conséquence sur le revenu des ménages, sur l'épargne, sur l'investissement sur la création d'emplois... Maintenant les « accélérateurs du temps » peuvent toujours dire que ce n'est pas une bonne solution...tant pis pour eux ils sont dans leur rôle d'opposants du dedans.
Il urge de compter ses partisans parce qu’il y a les réformes à mener dont les plus urgentes sont celles qui influent directement et maintenant sur le niveau de vie des sénégalais et non celles qui allongent la durée du mandat du président de l'assemblée nationale ou la réduction du mandat du président de 7 a 5 ans. Ces deux dernières peuvent être incluses dans celles qui seront proposées par Monsieur makhtar Mbow et sa commission des reformes.
Par Bassirou NDIAYE


mardi 25 mars 2014

Pourquoi Bokk DEFAR ?

Parce que nous avons une VISION
Bokk DEFAR s'inscrit dans cette perspective qui consiste à œuvrer ensemble de sorte que le mérite soit la base des acquis, tant individuels que collectifs : il est temps que le népotisme cède la place à la compétence ! 
Bokk DEFAR se propose comme sacerdoce de promouvoir, en politique, les vertus de Solidarité, de Patriotisme, d'intégrité, d’Equité et de Justice, qui, seules, peuvent servir de rampe de lancement vers un Sénégal émergent.
BOKK DEFAR a un PROJET pour le Sénégal, lequel tourne autour de :
-La satisfaction de la Demande sociale.
-La mise en place des mécanismes de Promotion de l’Initiative Economique en vue de favoriser la création d’emplois par les sénégalais.
-Les réformes institutionnelles avec comme clef de voûte l’Indépendance de la justice
-L’assainissement de la vie politique qui passe par une démocratie interne au sein des partis politiques :
-La garantie de la liberté des idées et la transparence. L'unilatéralisme des décisions des dirigeants doit être gommé au profit du dialogue et de l’opportunité donnée aux militants de proposer leurs idées. Les responsables doivent répondre de leurs actes, en étant à même de justifier leurs conduites et leurs choix.
-Faire de la démocratie le maître-mot du fonctionnement des partis. Car celui qui veut, demain, mettre en pratique un tel principe au sein de son peuple, doit considérer sa formation politique comme le terrain propice d'une propédeutique. Le progrès ne peut jamais être envisagé que comme la résultante d'un rapport dialectique entre les différentes forces. La divergence est constructive, et ce quelle qu'en soit sa forme !
BOKK DEFAR se veut la voix du mutisme.
Mutisme pour ces personnes qui veulent et doivent parler, participer, réagir, suivre et évaluer les actes posés dans la cité. Ces personnes qui refusent la tortuosité, les coups - bas, le reniement et le manque de conviction des soi-disant politiques qui aspirent à gérer cette cité. Osons marcher à visage découvert !

On ne peut être un ange sur terre mais on peut essayer de faire que les choses aillent mieux pour tout le monde.
BOKK DEFAR, c’est la preuve, par l’action.